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ASSOPOL

Association des alumni de Sciences Sociales et Politiques de l'Université de Lausanne

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Association des Alumni de Sciences Sociales et Politiques

de l'Université de Lausanne

Actualités

Rencontre et discussion avec Micheline Calmy-Rey et François Hollande

1 septembre 2021 by Leïla Sahal

Mardi 21 septembre 2021
De 17h30 à 19h15
Université de Lausanne, salle Amphimax 350

Rencontre autour du livre:
« Pour une neutralité active. De la Suisse à l’Europe »

La discussion sera animée par:
· Jacques de Watteville, Vice-président de la Fondation Jean Monnet pour l’Europe, ancien Secrétaire d’État de la Confédération suisse
· Jean-Philippe Leresche, Président du Comité d’édition de la collection Savoir suisse, Professeur à l’Université de Lausanne

❕Le nombre de places étant limité, nous vous prions de bien vouloir vous inscrire via le formulaire en ligne. A l’attention de nos membres: dans le formulaire d’inscription, veuillez saisir sous institution « ASSOPOL ». Nous avons un certain quota de places réservées pour nos membres. ❕

L’événement sera également retranscrit en direct sur YouTube.

Pour la santé de tou·te·s, les règles sanitaires suivantes seront appliquées :
· Présentation obligatoire d’un Certificat Covid et d’une pièce d’identité
· Port du masque obligatoire
· Aucune boisson ni nourriture ne sont autorisées à l’intérieur de la salle

L’événement est organisé par la Fondation Jean Monnet pour l’Europe et la Collection Savoir Suisse, en partenariat avec ASSOPOL et le réseau Alumni SSP de l’Université de Lausanne

Nous nous réjouissons d’ores et déjà de vous retrouver ce 21 septembre prochain !

Filed Under: Évènements

Portrait d’Alumni: Gaspard Kühn

17 mars 2021 by Daphné Dossios

Qu’ils exercent dans le journalisme ou les médias, le privé ou le public, les ONGs ou les OI, l’ASSOPOL est parti à la rencontre des alumni et alumnae SSP. Dans cette série consacrée aux débouchés, ils et elles nous racontent leur parcours, les atouts de leur formation et nous disent si SSP mène vraiment à tout.

Gaspard Kühn © Radio Télévision Suisse (RTS)

Quel a été votre parcours académique?

J’ai fait quatre ans de licence en science politique à l’Université de Lausanne avant d’enchaîner quelques stages, dont un à l’Ambassade de Suisse à Bangkok. Puis, j’ai suivi un Master en macroéconomie et études asiatiques à la School of Oriental and African Studies (SOAS) de l’Université de Londres.

Pourquoi avoir choisi science politique?

En sortant de l’école obligatoire, j’étais déjà intéressé par cette voie. Je suis allé voir un journaliste du 24 Heures et lui ai demandé comment entrer dans la profession. Il m’a conseillé de faire science po et de me spécialiser en économie parce que, selon lui, j’avais plus de chance d’être engagé si je devenais journaliste économique. J’ai suivi ces conseils à la lettre et ça a marché! (Rires)

Qu’est-ce que science politique vous a apporté dans votre carrière de journaliste?

Science po donne de bonnes bases pour une carrière dans le journalisme. D’abord, pour une raison assez évidente: en tant que journaliste, on est souvent amené à parler de politique. Cette formation permet aussi d’acquérir un panel assez large de connaissances, tant en droit, qu’en économie, ou en histoire. Science po m’a également aidé à structurer ma pensée. Même des cours que je trouvais extrêmement ennuyeux m’ont beaucoup apporté. Par exemple, j’avais suivi un cours sur la manière de mener des entretiens en sociologie. La méthodologie rébarbative au possible! Mais en fait, c’était un cours sur l’art de poser des questions. C’est quand même un bon outil pour un journaliste! (Rires) Idem pour les cours de statistiques, ils aiguisent le sens critique face aux chiffres. Après, il y a des cours qui m’ont été directement utiles. Par exemple, «Politique suisse», pratique quand on travaille à la RTS!

Quels sont les conseils que vous donneriez à de jeunes journalistes en devenir?

Faites des stages dans les médias, notamment dans les petits médias locaux qui ont toujours besoin de coups de main. En parallèle à ma licence, j’ai par exemple travaillé pour Radio Chablais. J’ai également suivi un stage au Temps, ce qui m’a permis de décrocher mon stage RP à L’AGEFI. En presse écrite, c’est ce qu’on appelle construire son book. On fait un book de nos articles publiés et on le présente lorsqu’on essaie de décrocher un stage RP. Je recommanderais également aux étudiants de tenter des expériences associatives dès que possible. Pendant mes études à l’UNIL, je faisais partie de Mosaïque UNIL, une association pour les passionnés de politique internationale qui participe chaque année à une simulation des Nations Unies. J’ai également été animateur radio pour Fréquence Banane, une excellente école pour se frotter à ce média.

 Je ne suis pas sûr qu’un employeur va regarder les notes obtenues à l’université. Par contre, il va s’intéresser à notre CV. Au final, ce sont les activités associatives, les petits jobs, les stages, etc. qui vont faire la différence. Toutes les expériences sont utiles. Pendant ma licence, j’ai fait une année d’échange à l’Université de Montréal, ça m’a fait grandir. Plus tard, le service civil m’a permis de partir en République Démocratique du Congo et en Centrafrique avec la Fondation Hirondelle, une ONG qui crée des chaînes de radio dans les pays qui sortent de conflits. Le journalisme, c’est un monde où il est difficile de débuter professionnellement. Il ne faut pas «cracher dans la soupe». Si on a l’opportunité de suivre un stage, même dans un petit média local, il faut le faire. Il ne faut pas partir du principe qu’on va commencer avec un stage RP au Temps. C’est peu probable. Mieux vaut être humble au début et se dire qu’on va d’abord apprendre le métier, un peu à la dure.

© Radio Télévision Suisse

Après votre stage RP à L’AGEFI, quel a été votre parcours professionnel?

La RTS avait ouvert un poste à la rubrique économique. C’était la crise des subprimes à l’époque, ils avaient besoin de compétences en économie. J’ai été engagé comme ça. Trois ans après, le correspondant à Londres a décidé d’arrêter après 20 ans de correspondance. La rédaction allait fermer ce poste, à moins que quelqu’un ne fasse une proposition. Le lendemain, je suis donc arrivé avec un deal. J’ai proposé un temps partiel avec une petite garantie de jours. Je savais que les Anglais allaient voter sur le Brexit, ça allait forcément passionner les Suisses. J’ai donc commencé à 50% à Londres et j’ai fini par travailler beaucoup plus, entre la télévision et les piges pour la presse écrite. J’ai eu de la chance avec l’actualité, c’était riche: le référendum écossais, la réélection de David Cameron, le Brexit… Trois ans plus tard, je suis revenu en Suisse pour diriger la rubrique Économie et Science du TJ. Et maintenant, ça fait une année et demie que je suis à Washington.

Pouvez-vous me raconter une journée type en tant que correspondant à Washington?

Avec le décalage horaire, une journée à Washington commence très tôt. Lorsque je suis en direct dans l’édition de 12h45, je me lève à 5h du matin pour avoir quelque chose d’intelligible à dire à 6h45, heure de Washington. Les montages des reportages se font assez vite, pour la diffusion au 19h30, la deadline est à 13h30, pour moi. L’après-midi, je prends du temps pour réfléchir aux prochains sujets, passer des coups de fil, faire des recherches… Être correspondant à Washington, ça veut aussi dire faire des kilomètres et des kilomètres. Quand on est la télévision suisse, c’est sûr qu’on est numéro 258 sur la liste des priorités des sénateurs et des membres de la Chambre des représentants. Mieux vaut partir à la rencontre de l’Amérique «réelle», aller sur le terrain. Mais les États-Unis, c’est très grand. La plupart du temps, on est donc dans l’avion ou dans la voiture. Par exemple, la semaine dernière, j’étais au Nouveau-Mexique pour faire un sujet sur le pétrole et la semaine d’avant, au New Jersey pour un reportage sur les vaccins.

Qu’est-ce que vous aimez particulièrement dans votre métier?

Ce qui me plaît, c’est justement le terrain. Les États-Unis c’est un «terrain de jeu»  absolument génial! C’est vaste, c’est beaucoup plus varié et diversifié que ce qu’on imagine. Quand on va dans le Sud, dans le Nord-Est ou dans l’Ouest, ce sont des réalités, des mentalités et même des façons de parler différentes. Et puis, tout est plus grand. Les enjeux, les problèmes, les inégalités… C’est passionnant. Quand on est à Washington, on est également au cœur du pouvoir. On le sent très clairement.

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Portrait d’Alumna: Carine Carvalho

12 août 2018 by webmaster_assopol

Quel est votre parcours ?

Née au Brésil, j’ai migré en Suisse avec une partie de ma famille en 2000. J’ai fréquenté brièvement le gymnase cantonal du Bugnon. Ma matu en poche, j’ai entamé des études de Sciences Sociales à l’UNIL en 2001. Très vite, je me suis passionnée de la sociologie et de l’anthropologie. J’ai dévoré les cours qui traitaient des questions d’égalité et de genre.

Diplômée en 2006, j’ai mis mes études à profit en travaillant dans le monde associatif et syndical. J’ai beaucoup fait du bénévolat et de la militance. Depuis dix ans, j’œuvre pour l’égalité entre les femmes et les hommes à l’UNIL, en tant que chargée de missions au Bureau de l’égalité. En 2016 j’ai été élue au Conseil Communal de la Ville de Lausanne et en 2017 au Grand Conseil vaudois.

Qu’est-ce que vos études vous ont apporté ?

Les cinq ans que j’ai passé à l’Université de Lausanne, et à la faculté des SSP, ont sans doute modifié le cours de mon existence. J’y ai trouvé des ami·e·s pour la vie et mes premières amours. J’ai même connu mon mari dans un cours d’Anthropologie. Plus tard, grâce aux stages effectués pendant ma licence, j’ai trouvé mon premier emploi stable à l’UNIL.

Mes études m’ont apporté une connaissance solide du monde et des enjeux politiques et sociaux. Ils m’ont donné le goût des affaires politiques. Savoir argumenter, organiser mes idées, les mettre sur papier de manière cohérente sont aussi des apprentissages inestimables acquis pendant cette période.

Quel est votre meilleur souvenir du campus ?

Comme je travaille à l’UNIL, le campus est pour moi plus qu’un souvenir, une réalité quotidienne. J’apprécie surtout la vue bucolique depuis la cafétéria de la Banane et le bruit des moutons qui broutent devant ma fenêtre.

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Portrait d’Alumni: Vincent Kucholl

30 juillet 2018 by webmaster_assopol

Quel est votre parcours?

Après ma matu, obtenue au Gymnase d’Yverdon, et une année passée sur les chantiers et sous les drapeaux, je me suis inscrit en HEC à l’UNIL. La veille de la rentrée, j’ai bu un verre avec une amie qui s’était inscrite en SSP. N’ayant aucune personnalité, j’ai changé d’avis et décidé de la suivre. Dieu merci car j’aurais vraisemblablement été malheureux comme une tombe à apprendre les fondements de la comptabilité plutôt que ceux de la sociologie.

Qu’est-ce que vos études vous ont apporté ?

J’ai appris deux ou trois concepts, j’ai appris à fumer (j’ai désappris depuis), j’ai appris à gérer mon ennui (durant les cours de méthodologie), j’ai appris le plaisir du débat d’idées, j’ai appris l’importance du questionnement et de la problématisation, mais surtout, j’ai appris à apprendre. Et j’ai rencontré l’un de mes meilleurs amis.

Quel est votre meilleur souvenir du campus ?

La grève des étudiants au printemps 1997. Deux semaines très formatrices, empruntes de solidarité, de combat collectif, de défense d’idéaux, de discussions animées et, à la fin, d’une belle gueule de bois. Sinon, j’ai aussi un souvenir ému du dépôt de mon (mauvais) mémoire de DEA (du nom d’un postgrade inutile aujourd’hui disparu), le 11 septembre 2001 et de sa soutenance, le 2 octobre 2001 (jour du grounding de Swissair). J’ai bien fait de quitter l’UNIL pour me tourner vers des études de comédien, avant de générer d’autres catastrophes.

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Une opportunité de développer vos perspectives de carrière

12 juin 2018 by Elodie Müller

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L’ASSOPOL est l’Association des Alumni de Sciences Sociales et Politiques. Indépendante de l’Université de Lausanne, elle vise à la valorisation de la réflexion en sciences sociales et politiques.

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